Le champs n'est plus que boue, flaque, et tas de terre. Déraciné le bel arbre, coupé, tronçonné, mutilé, le cadavre, déjà mort avant ma naissance. Des oiseaux noirs se posaient sur sa carcasse, ils ont disparu. Les lombrics et les mulots. Plus d'arbre. Plus de nourriture. Plus que de la poussière. Des cylindres de ciment, des tuyaux de plastique. On dinais à la santé de M.J parmi les herbes hautes. Plus d'herbes hautes. Ca sent la destruction.
Depuis qu'ils sont venu.
Mais les oiseaux noirs reviennent.
Signes de malheur ils les guettent. Puissent-ils être détruit comme ils détruisent. Creuser par la peur. Ils creusent, ils tuent les lombrics, et les larves. Les oiseaux noirs reviennent. Ce n'est peut-être qu'un début.
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