Avant

Pif

18.10.10

Isidor


Je range mon aiguisé, mes petits doigts meurtris et dans ce bleu, que du noir. Il y a cette plaie ouverte, pleine de cette crasse incompréhensible. Le sol tremble mon pied posé sur la pédale, impuissante, je veux taire. Au dessus, les petites pattes du chien triste résonne. Il y a cette saleté collante, cette immortalité gênante dans ma tête.







" Je dépèce l'épiderme de mon thorax, de mon sexe, de mes jambes. Je me retrouve comme un monticule de neige avec à mes pieds une flaque de chair purulente et de crasse. "









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